La constante charité des paniers de Noël : Cette grande fête pour les gens des béatitudes

Lors de mon arrivée à la paroisse, il y a plus de trois ans, une des personnes impliquées au bénévolat de la Sainte-Famille, m’a parlé de paniers de Noël; et que les participants à ce bénévolat, sont des personnes de toutes cultures et  croyances, de toutes couleurs et langues, de différentes  générations et âges.

Tout en suivant la description, j’avoue que je n’arrivais pas à comprendre la combinaison de ces deux mots, pourtant bien connus: paniers… et Noël! Qu’est-ce qu’on pourrait mettre dans un panier quelconque, pour en faire une telle participation…! me demandais-je avec simplicité.

Or, la première année, je ne pouvais, qu’admirer  ce que j’ai considéré comme un phénomène : semer la joie dans des dizaines de familles qui sont  cette année au nombre de 40! Ils auront avec la dinde, tout l’équipage culinaire, pour faire une généreuse table de Noël; des cartes-cadeaux aux enfants, à des adultes et encore plus.

Avec les années qui ont passé, l’émerveillement est grandissant : cette équipe, animée par Danielle et Nadine, est capable en chaque année de créer, de maintenir et d’épanouir ce groupe humain au service des autres, et ce par des élèves d’écoles publiques ou catholiques, des gens de toute cultures, cette belle façon de célébrer avec Noël, l’anniversaire annuel de  la naissance du prince de la paix et de la justice, Jésus Christ, dont la venu dans l’histoire a été accompagnée par cette bonne nouvelle ‘en grec évangile’. Cette bonne nouvelle qui annonce la joie à toutes les personnes humaines, est ‘Emmanuel’, ce qui veut dire en araméen : ’Emmanu’ avec nous est ‘EL’ –Dieu-; nous sommes donc tous, appelés à tracer  à travers nos diversités, un chemin vers un monde plus humain.

Tout cela a été possible, par la générosité de ceux qui chaque dimanche, comblaient discrètement la boite des denrées alimentaires, avec ceux qui glissaient aux collections, des chèques ou ‘des argents’ pour  faire la joie à ceux qui en ont le plus besoin : les petits frères et les petites sœurs de Jésus.

Le paroissien - The Parishioner !

Un jeune couple de paroissiens amoureux
nous lance une revue virtuelle :

Le paroissien – The Parishioner

Ils se sont mariés dernièrement à l’église Sainte-Famille. Des deux cotés ils sont enfants de paroissiens proches de leur  église.

Dès le début de leur préparation, c’était leur coup de foudre bilatéral avec la paroisse Sainte-Famille.

www.jophoto.info

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Par bonne coïncidence, ils ont eu pour la célébration de mariage, une jeune photographe Jodi O, qui tout en les photographiant, était, en fin de compte, en train de faire discrètement, un très bel album mettant en relief, la célébration eucharistique de la messe et l’architecture pittoresque de notre église francophone nationale catholique de Calgary.

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Dans leur premier numéro, Jacqueline et Jean-Mathieu, ont fait écho d’une homélie, à coté d’une prière pour les famille signée Jean-Paul II (Bienheureux).

Un autre point que j’ai trouvé intéressant : Ils lancent  ‘le coin des amitiés’  afin que  le paroissien devienne un pont de liaison entre d’autres amis ou même  amoureux, chrétiens ou catholiques, francophones ou  bilingues qui se ressourceraient dans la paroisse Sainte-Famille, ou même dans l’église du coin.
Cette revue bilingue sera affichée prochainement. Notre maitre du site est en train d'y travailler.

Des photos de Jodi O Calgary Photographer:

www.jophoto.info

 

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‘Plantons la vigne…’

Après un long silence sur le blog du pasteur, notre maitre du site Thibault Dambrine, m’a appelé en me soufflant que les vacances doivent bien être terminées! Alors c'est la rentrée... et je commence par les toutes dernières activités saisonnières, en parlant de notre jardinage et de la nouvelle parure verte de notre église.

Tout se passait normalement, avant de penser que cela pourrait faire une petite actualité paroissiale: Planter une vigne dans le jardin du presbytère.

Cela avait commencé lorsque nous avions trouvé que les feuilles de raisin chez Jacques et Madeleine Pelletier étaient bonnes pour en faire des plats de Dolmeh assez connus dans la cuisine orientale : du riz, des oignons et de la viande et le tout roulé dans des feuilles de vignes ou des feuilles de choux. 
Avec la belle saison, Jacques m’a dit que ses feuilles sont prêtes à se faire ‘cueillir’; mais aussi, en apprenant que nous cherchions de quoi planter dans le jardin du presbytère, il a généreusement offert que nous y transplantions une des ses vignes.

Ainsi, au-delà des dimensions culinaires, une vigne à l'ombre la tour de l’Église Sainte-Famille, est un élément imprégné de symboles bibliques bien significatifs, et un souvenir pour les générations.

Puis, ‘bloguant’ dans ce sens, cela a entrainé une autre idée; contacter Marguerite Sigur, notre responsable de la Sacristie et des activités liturgiques, et cette fois-ci en sa qualité de responsable administrative de la villa Toupin (La société Franco-canadienne de Calgary). Ils avaient de leur coté planté des peupliers devant la villa, tout à coté de l’église. Marguerite m’a aimablement prêté les photos qu’elle avait prises en cette occasion.

Vous remarquerez, parmi les photos, la nouvelle parure verte devant l’église, après avoir coupé très bas la haie qui s’est avérée infectée, selon une expérience pareille chez Jean et Louise Fournet.
Alors un couple de nos jeunes paroissiens, Jean-Mathieu et Jacqueline Daoust-Limoges,  étaient venus au secours. Ce couple vient de se marier, tout dernièrement le 13/08/2011, félicitations une autre fois, J-Mathieu & Jacky. Or c’est la profession de Jean-Mathieu que de s’occuper des arbres et des jardins. Il nous a coupé la haie assistée de sa conjointe.
Si un jour vous avez besoin de J-Mathieu, n'hésitez pas à nous contacter car il est des nôtres, déjà depuis ses fiançailles. Alors, en le conatactant, vous pourrez lui laisser un message, car selon son répondeur de la boite vocale, il serait ou bien sur un arbre! ou bien dans sa camionnette se dirigeant vers un autre... arbre! 

La St. Jean à la Portugaise!

Mon ami et l’ami de la paroisse, l’abbé Clauber Lima, m’a invité à célébrer la messe de la fête de Saint Jean Baptiste dans sa paroisse Notre Dame de Fatima. Il m’a demandé de prononcer l’homélie; un changement ferait du bien aux fidèles, pensait-il à haute voix...

Ma participation à la messe portugaise, s’est limitée à l'homélie en anglais,  puisque je suis illettré en portugais. Mais il m’a tellement mis en relief, me donnant l’encens, les bénédictions, vêtu de sa chasuble brodée en Belgique avec un fil d’or, que je risquais d’être pris pour un nonce apostolique…

A la sortie, il y eu une belle procession, pendant laquelle nous tournions avec des cercles de pain fait pour l’occasion. La passion du photographe journaliste d’antan, m’a poussé à utilise la caméra de mon I- phone pour hasarder de prendre ces quelques photos à partir de ma place à la fin de la procession, en attendant de recevoir les photos professionnelles de Jason le photographe de l’occasion. 

Je voudrais rappeler que l’abbé Clauber, a eu l’occasion de donner, chez nous à la paroisse, le témoignage de son cheminement  spirituel, au cours de ses cinquantes ans, qui avaient débuté par  un traitement  des ses pieds accidentellement brulés; traitement qui a duré  cinq ans à l’hôpital jusqu’à l’âge de 11 ans. Ses pieds restent fragiles et accusent un certain handicap, mais Clauber, agit comme s’il avait des pieds aussi bien portants que les autre prêtres… chapeau, cher confrère!

Dans l’univers de Marcello di Cintio

À la bienveillante suggestion de notre paroissienne Filomena, Marcello Di Cintion, a posté un blog sous le titre: The Iraqi Priest, (le prêtre irakien) dans son site web www.marcellodicintio.com intitulé Elswere.

Marcello,un écrivain Calgarien, jeune et prolifique, a mentionné que ce blog est un prélude pour ‘une histoire’ plus développée qu’il va publier dans la revue Alberta Views www.albertaviews.ca dans la quelle il écrit en tant que pigiste. 

C’était l’occasion de parcourir le site web de Marcello Di Cintio que j’ai trouvé bien enrichissant, à travers les livres qu’il a écrits comme entre autres, son livre (Poets and Pahlevans), et les échos de ses nombreux voyages en Iran et en d’autres pays.

Merci pour l’aimable inititiative de Filomena, et bonne lecture à nos lecteurs bilingues!

Merci aux réfugiés irakiens

Par Mgr Samir Nassar 

archevêque maronite de Damas

L’Eglise de Damas salue la fécondité de la présence de chrétiens irakiens

Je viens de recevoir par la poste cette lettre accompagnat une carte de voeux pour Pâques  de la part de mon ami, Mgr Samir Nassar, archevêque maronite de Damas (Syrie). Et je m’apeçois que l’agence du Vatican Zenit, a fait écho à cette lettre par ces mots : Mgr Samir Nassar, qui salue le dynamisme des chrétiens irakiens réfugiés en Syrie, qui « renforcent la foi chrétienne en Syrie en apportant un nouveau souffle à nos paroisses ». Dans cette lettre intitulée « Merci aux réfugiés irakiens », il revient sur ces « missionnaires ambulants qui ont marqué l'Eglise » du pays et qui, malgré un avenir incertain, la perte de proches, les difficultés du quotidien, la pauvreté, vivent « la foi et l'espérance chrétienne ».

Merci à Mgr. Samir, bonne lecture.

* * *

La Syrie a facilité l'accueil des réfugiés irakiens. Ils sont venus par milliers, surtout à Damas, et continuent à venir par dizaines et centaines pour fuir la mort et les violences dont ils sont victimes depuis 2003. Les services des Nations Unies organisent leur exode vers d'autres cieux plus cléments... En attendant d'obtenir leur visa, ces réfugiés irakiens restent à Damas quelques fois deux à trois ans et parfois plus.

Ces chrétiens bien formés, pieux et pratiquants se réfugient dans la Foi et l'Espérance chrétienne. ILS REMPLISSENT NOS EGLISES, dynamisent nos paroisses et renforcent la Foi chrétienne en Syrie en apportant un nouveau souffle à nos paroisses :

Pratiquants quotidiens, les réfugiés Irakiens sont assidus à la messe de chaque jour venant de loin, à pieds ou en transport public.

Demandant la confession avant la communion, ces réfugiés ont accéléré le retour au confessionnal qui retrouve les queues d'attente.

Leur dévotion pour les Saints et vénération de la Vierge relance les fabriques de cierges et les oratoires des Saints à l'intérieur comme à l'extérieur des églises qui sont illuminées jours et nuits.

Leurs enfants sont nombreux aux classes de catéchisme et de première communion. Leurs jeunes s'engagent dans les chorales des différentes Eglises et Liturgies.

La guerre a répandu assez vite l'informatique en Irak. Ces réfugiés débarqués à Damas sont bien familiers avec l'Internet et le web. Ils ont mis leur savoir généreusement au service des paroisses et des communautés. Ainsi, grâce à eux, nos paroisses se sont dotées de sites Internet et de websites, instrument d'avant-garde au service de l'évangélisation à l'échelle universelle.

Poussés par une forte piété, ils se bousculent par dizaines, deux à trois fois par semaine, pour faire le grand ménage de la cathédrale et de la place de l'Eglise et ceci jusqu'à l'obtention de visa. Avant de voyager, ils assurent la relève de cette activité.

Ils sont présents dans les soirées de prière, l'Adoration eucharistique, les pèlerinages et les processions dans les rues de Damas pendant la Semaine Sainte et surtout le mois de Mai. Leur dynamisme spirituel attire les autres communautés, un de nos prêtres donne un coup de main à la paroisse chaldéenne.

Malgré leur pauvreté et leur condition de vie précaire, ils sont généreux et vivent le partage. Il faut les voir à la sortie des messes offrir et donner avec joie, sourire et larmes.

Ils vivent les moments les plus intimes dans le silence devant le Saint-Sacrement, en tête-à-tête avec le Seigneur. Pendant des heures, pleurer des proches disparus et s'interroger sur l'avenir. Et chercher à comprendre POURQUOI.

Ils se présentent nombreux à l'archevêché, chaque semaine, pour dire au-revoir avant de voyager vers l'inconnu, et des fois en ordre dispersé : les parents vers l'Australie, les enfants vers le Canada. Même en terre d'exil ils ne doivent plus vivre en famille. Un déchirement encore plus douloureux.

Ces réfugiés Irakiens qui ne font que passer à Damas sont des missionnaires ambulants qui ont marqué l'EGLISE DE SYRIE qui les regarde passer et S'INTERROGE SUR SON PROPRE AVENIR.

Le Synode des chrétiens d'Orient fut une chance et un espoir sans toutefois arrêter l'hémorragie et l'exode. Ces réfugiés missionnaires dispersés dans les quatre coins du monde ne sont liés entre eux que par la prière et l'Internet qu'ils maîtrisent, coupés de leurs racines et devant le crépuscule de leur Eglise. Pourraient-ils, ces réfugiés Irakiens, avec leur vitalité religieuse, apporter un souffle nouveau aux Eglises d'Occident qui les accueillent ?

Damas 2011.
mgrsamirnassar@gmail.com

Merci à nos donateurs et à Tim. Jim est content de sa bicyclette!

Tim, un voisin de notre paroisse, devenu paroissien et bénévole, avait offert, il y a quelque temps, une bicyclette en très bon état, qu’il avait dans le dépôt de chez lui. Mais il ne pouvait pas imaginer quelle joie il allait créer chez Jim (en photo). Jim, venait de temps à autre se reposer à coté de l’église. C’était l’occasion de faire connaissance avec lui. Dès lors, là où je le voyais, je m’arrêtais pour demander de ses nouvelles.

La semaine dernière, je l’ai rencontré assis sur un banc de la 4^ème rue voisine. Je lui ai demandé pourquoi il n’avait pas sa vieille bicyclette avec lui. Il me répond qu’il l’a perdue; et moi de le surprendre en disant : Venez, je vais vous en donner une. Alors on fait ensemble, le chemin menant au presbytère. En route,  Il m’explique les conditions ambigües à cause desquelles il avait perdu son moyen de transport et de divertissement… Il m’a promis, ainsi qu’à Nicole la secrétaire paroissiale, de faire plus attention et de prendre soin de la bicyclette que la Sainte-Famille allait lui offrir.

En échange, Jim nous a donné de beaux cadres de photos qu’il avait dans sa sacoche; l’un pourra encadrer la photo que nous avons prise ensemble, pour marquer pour lui la joie de se retrouver une belle bicyclette.  

Merci à nos généreux donateurs. Oui, vos offrandes de ce genre seront référées aux bonnes personnes qui en auront besoin.

À l’ère du numérique : Homélies, une nouvelle rubrique

45ème JOURNÉE MONDIALE DES COMMUNICATIONS SOCIALES

Le Saint-Siège a rendu public lundi 24 janvier le message de Benoît XVI pour la 45me Journée mondiale des communications sociales, qui sera célébrée le 5 juin sur le thème «Vérité, annonce et authenticité de vie à l’ère du numérique».

C’est vraiment une belle coïncidence, qu’en cette semaine, a été rendu publique le message du pape Benoit XVI, depuis le 24 janvier, que notre site web a lancé une rubrique d’homélies.

Ainsi l’homélie des béatitudes y a été transférée et nous venons d’y poster l’homélie de ce dimance, intitulée : lumière à travers l’internet.

Ainsi le ce blog du pasteur, gardera son cadre d’information et de nouveauté. Le lecteur, interessé, pourra directement voir les homélies.

Profiles d’Afrique par Gabrielle Heine

Une de nos paroissiennes étaient en Mission en Décembre dernier, comme reporté dans notre ruprique - jeunesse sous le titre: Une paroissionne en mission. 

Retournée de son Voyage de 2 semaines en Afrique, Gabrielle a eu le temps de reprendre son souffle. Elle avait le bagage nécessaire pour nous tracer des profiles originaux d’une Afrique qu’il vient de voir au vif. Les premiers 3 profiles n’ont pas de photos, les suivants nous rejoignent et par les mots et par les images, sous le titre: Profiles d'Afrique, dans la même rubrique.

Bravo Gabrielle,

Bonne lecture à tous.

Une prise de conscience au niveau national et Nord Américain de la cause des chrétiens persécutés.

Visite au ministre Jason Kenny

Les médias avaient dernièrement fait écho du massacre commis contre les chrétiens dans l’Église Irakienne Notre Dame du bon secour,  Le 31 Octobre 2011. c'est une population de langue araméenne, et qui est l’une des premières nations de la Mésopotamie. Suite à ce évênement tragique, Georges F. Jergeas, Ph. D., P. Eng. Canadien d’origine Irakienne, avait entrepris des contacts avec le ministère de l’immigration et de la citoyenneté, dans le but de savoir quelles sont les mesures prises pour soutenir ces chrétiens d’une certaine extermination quasi catégorique. Le ministre Jason Kenny, en réponse, a accordé une audience avec le professeur Jergeas. L’abbé Noël, a été invité à participer à cette rencontre qui a eu lieu ce lundi 24 Janvier.

Rappelant sa rencontre avec le dernier dans le presbytère de la paroisse Sainte-Famille Jason Kenny a accueillit Noël Farman avec une accolade amicale à l’orientale.

Le ministre Kenny a commencé la rencontre en exposant les projets de son ministère en faveur des chrétiens Irakiens sous la persécution. Ces projets, a-t-il ajouté, sont principalement pris en charge par le Canada et les États Unis, à coté d’initiatives assez relatives de la part d’autres pays européens. Ils visent essentiellement  ceux qui sont en pays d’attente, et ce à cause du statut international de l’émigration qui consiste à secourir les individus et groupes fuyants leur pays d’origine. Il a mis le point sur l’envergure de ce projet en disant qu'il tend à être à la hauteur du volume de ces ressortissants qui sont actuellement en pays d’attente. Entre ces pays d’attente comme la Syrie, la Turquie, La Jordanie, le ministre a cité aussi le Liban en mentionnant sa surprise que les chrétiens dans ce pays connu comme chrétien sont particulièrement dans la détresse, et beaucoup sont en prison (probablement à cause de leur rentrée illégale dans le pays- note de l’auteur).

Au cours de la rencontre, nous avons cependant observé que le ministre a pu libérer, le terme chrétien de son coté tabou dans les démarches avec les instances canadiennes, lorsqu'on fait référence à ces minorités persécutées; ce tabou voulait en effet dire qu’au niveau des formalités, il ne fallait pas faire de concession à des immigrants à cause de leur religion, et que c’était de coutume de parler de minorités ethniques, chaldéennes assyriennes et syriaques etc. Cette prise de conscience en faveur de la cause de ces chrétiens s’est surtout imposée avec le massacre de 57 chrétiens dont 2 prêtres pendant la messe dans une église à Bagdad.

A la fin de la rencontre M. Kenny  a confirmé son désir montrer sa solidarité avec la communauté Chaldo-assyrienne de Calgary en projetant de rencontrer cette communauté pendant  son service eucharistique chaque dimanche soir (17h30) dans l’Église Saint James.