C’est un
bonheur toujours renouvelé et épanouissant pour un prêtre que de baptiser
petits et grands. A chaque baptême il y a une particularité; on dirait que c’est
pour la première fois que le prêtre le fait. C’est un émerveillement pour le
pasteur devant des parents avec parrain
et marraine qui viennent témoigner de leur implication à accompagner un nouveau
chrétien depuis les premiers mois de sa vie.
Aujourd’hui
c’était le cas pour le petit Bentley Egide Robertson Berge. Un quatrième enfant
que j’ai la chance de baptiser pour le couple Miereille et Logan. La marraine
Chantale, et le parrain Jihad Tabarah ont de leur part fait baptiser leurs
enfants de 17 et 15 ans, à la Sainte-Famille par le P. Jacques Joli. J’ai eu la
joie d’échanger en arabe avec Jihad (trilangue) sur les nouvelles de son pays d’origine
la Syrie.dimanche 24 juin 2012
La grâce de baptiser : Un biberon en récompense
jeudi 21 juin 2012
Fleurs et livres, merci à tous…
Jardinage
pour la belle saison : nos bénévoles en route!
La banque
des livres de la Sainte-Famille à l’échelle internationale!
À la
venue de la belle saison, l’église avec son jardin, recommence à se vêtir d’une
nouvelle et fraiche parure.
Pour les
plats méditerranéens de dolmeh nous
avons cueilli les premières feuilles de la jeune vigne offerte par Madeleine et
Jacques Pelletier; c’était planté dans le jardin du presbytère par Tim, que
j’ai accompagné ce matin pour les achats de nouvelles plantes.
Diane
Leger de son côté a bel et bien fourni la façade de presbytère par de belles
fleurs partagés entre l’église et son jardin.
D’une
autre part, c’est une joie de constater un autre genre de fleurs. C’est pour
l’esprit et la raison et ce sont les livres offerts par une multitude de
paroissiens. Cela nous a permis d’en former ce que nous avons aimé appeler une
petite banque de livres de tous les domaines. Dernièrement, une bénévole est
venu en offrir pour une organisation au Haïti. Une deuxième a pris avec elle
une bonne quantité pour les projets de formation dans son église en Afrique.
De là
l’occasion d’une action de grâce, et un merci chaleureux à toutes et à tous.
mercredi 20 juin 2012
L’église Sainte-Famille inspire des photographes professionnels
«Quelle belle église! » nous disent des gens qui y viennent pour la
première fois. Les photographes expriment silencieusement leur admiration; ils
le font par leurs images. En voici quelques inspirations :
James May
James est
venu, délégué par la revue AlbertViews lors d’une entrevue faite par l’écrivain
et journaliste Marcelle di Cintio, intitulée (A Hymn in Aramaic) sous la
rubrique (feature). Plusieurs amis et paroissiens ont eu l’occasion de voir
l’article dans le numéro de Mai dernier. http://www.albertaviews.ab.ca/?s=hymn+in+aramaic
Parmi un
grand nombre de prises, AlbertaViews a choisi, une photo sur une page entière.
James a posté une autre dans son site web : http://www.jamesmay.ca/#/13/1
Marcello Di Cintio
Marcello, l'auteur de l'article, de
son côté a posté cette photo dans son blog, avec une deuxième autre prise (http://marcellodicintio.com/2012/05/05/a-hymn-in-aramaic ); nous pouvons remarquer le jeu
artistique du photographe avec les éléments : lumières – ombres.
Jody O.
.jpg)
Jodi avait dit :
C’était la première fois où j’ai eu l’occasion de poursuivre les détails d’une
messe par la caméra. En répondant à notre demande elle a dit : C’est la
moindre des chose que je veux bien offrir à l’église ».
jeudi 7 juin 2012
Oui, nous osons prier pour nos défunts
Une réflection
personnelle
Nous osons prier pour nos défunts
Devant la perte d’un être cher, nous somme devant une grande douleur, une peine bien lourde.
Nous osons prier pour nos défunts
Devant la perte d’un être cher, nous somme devant une grande douleur, une peine bien lourde.
La
société d’aujourd’hui, a recours à des experts, des conseillers, des
psychologues. C’est le moment de donner de l’espace à la réflection, à la
méditation; donner de l’espace, pour le raisonnement personnel; essayer d’assumer
ce qui se passe, en parler, s’exprimer… Il y là un besoin pour un temps de
deuil, sans précipiter les choses avec des arrangements bâclés.
Le
pourquoi…
C’est
aussi le moment pour poser la question sur le mystère de la vie et de la mort;
un sujet généralement négligé, jusqu’à le considérer comme un tabou. C’est la
question suivante ou une questions similaire : est-ce que nous avons donné
l’espace nécessaire pour cette réflexion, sur l’être humain?
Dans la
société de consommation, tout est en progrès, tout est en découverte, pour le
confort de l’être humain, tout est prévu techniquement parlant; mais en général
on s’arrête très rarement sur le sujet de la destinée humaine.
Le
sécularisme, un sécularisme quasi radicalisé, même dans des pays à caractère chrétien,
a évité de donner l’espace nécessaire pour le coté spirituel personnel de l’homme
dans sa tension vers l’absolu.
Dans
notre milieu catholique nous osons prier pour nos défunts. C’est une doctrine
de vie, une question de foi.
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