jeudi 7 juin 2012

Oui, nous osons prier pour nos défunts


Une réflection  personnelle
Nous osons prier pour nos  défunts

Devant la perte d’un être cher, nous somme devant une grande douleur, une peine bien lourde.
La société d’aujourd’hui, a recours à des experts, des conseillers, des psychologues. C’est le moment de donner de l’espace à la réflection, à la méditation; donner de l’espace, pour le raisonnement personnel; essayer d’assumer ce qui se passe, en parler, s’exprimer… Il y là un besoin pour un temps de deuil, sans précipiter les choses avec des arrangements bâclés.
Le pourquoi…
C’est aussi le moment pour poser la question sur le mystère de la vie et de la mort; un sujet généralement négligé, jusqu’à le considérer comme un tabou. C’est la question suivante ou une questions similaire : est-ce que nous avons donné l’espace nécessaire pour cette réflexion, sur l’être humain?
Dans la société de consommation, tout est en progrès, tout est en découverte, pour le confort de l’être humain, tout est prévu techniquement parlant; mais en général on s’arrête très rarement sur le sujet de la destinée humaine.
Le sécularisme, un sécularisme quasi radicalisé, même dans des pays à caractère chrétien, a évité de donner l’espace nécessaire pour le coté spirituel personnel de l’homme dans sa tension vers l’absolu.
Dans notre milieu catholique nous osons prier pour nos défunts. C’est une doctrine de vie, une question de foi.

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