Une réflection
personnelle
Nous osons prier pour nos défunts
Devant la perte d’un être cher, nous somme devant une grande douleur, une peine bien lourde.
Nous osons prier pour nos défunts
Devant la perte d’un être cher, nous somme devant une grande douleur, une peine bien lourde.
La
société d’aujourd’hui, a recours à des experts, des conseillers, des
psychologues. C’est le moment de donner de l’espace à la réflection, à la
méditation; donner de l’espace, pour le raisonnement personnel; essayer d’assumer
ce qui se passe, en parler, s’exprimer… Il y là un besoin pour un temps de
deuil, sans précipiter les choses avec des arrangements bâclés.
Le
pourquoi…
C’est
aussi le moment pour poser la question sur le mystère de la vie et de la mort;
un sujet généralement négligé, jusqu’à le considérer comme un tabou. C’est la
question suivante ou une questions similaire : est-ce que nous avons donné
l’espace nécessaire pour cette réflexion, sur l’être humain?
Dans la
société de consommation, tout est en progrès, tout est en découverte, pour le
confort de l’être humain, tout est prévu techniquement parlant; mais en général
on s’arrête très rarement sur le sujet de la destinée humaine.
Le
sécularisme, un sécularisme quasi radicalisé, même dans des pays à caractère chrétien,
a évité de donner l’espace nécessaire pour le coté spirituel personnel de l’homme
dans sa tension vers l’absolu.
Dans
notre milieu catholique nous osons prier pour nos défunts. C’est une doctrine
de vie, une question de foi.
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